Ainsi gèlent les normes sociales : quand nos propres bulles nous emprisonnent (avec un zeste d'humour !)

Marre des "il faut" qui vous collent à la peau ? Si les normes sociales vous transforment en bibelots givrés, cet article est fait pour vous ! Inspirée par un roman qui bouleverse, je vous invite à dégeler nos bulles ensemble, avec un zeste d'autodérision.

Ainsi gèlent les normes sociales : quand nos propres bulles nous emprisonnent (avec un zeste d'humour !)

Hello les Âmes Lectrices du dimanche ! ☕️🍪

Installez-vous confortablement, je vous ai préparé un petit café bien chaud et quelques biscuits virtuels (sans calories, promis !).

Aujourd'hui, on va papoter d'un sujet qui me trotte dans la tête depuis ma dernière lecture coup de cœur, "Ainsi gèlent les bulles de savon" de Marie Vareille (oui, encore lui, je suis obsédée, je l'avoue !).

Ce livre, en plus de nous tordre les boyaux d'émotion, a fait germer une petite graine de réflexion en moi : et si, finalement, ce qui nous gèle le plus dans la vie, ce n'était pas le froid de l'hiver, mais le poids invisible de nos chères normes sociales ?


Le Carcan Invisible : Quand les "Il Faut" nous transforment en Bibélots Givrées

Avouez-le, on a toutes un placard secret rempli de "il faut que...", "il faudrait que...", "qu'est-ce qu'on va dire si...".

Un vrai dressing de l'angoisse !

Dès qu'on sort de notre coquille d'œuf, la société nous tend une liste de courses longue comme un jour sans pain :

"Il faut être une bonne élève", "il faut trouver un bon travail", "il faut se marier", "il faut avoir des enfants", "il faut être une mère parfaite" (là, je crois que mon cerveau a fait un burn-out à force d'essayer de cocher toutes les cases !).

Et si, par malheur, on s'aventure à dire : "Euh... en fait, non merci, cette case-là, elle ne me dit rien" ou "Je préfère mon chat à mon potentiel prince charmant" (chuuut, mon mari ne lit pas le blog, mais mon chat peut-être !), alors là, c'est le drame !

Les regards de travers fusent, les questions insistantes pleuvent ("Mais tu es sûre de ne pas le regretter ?").

On dirait qu'on a commis un crime de lèse-majesté contre le "Bonheur Universel Décrété par la Société".

C'est là que nos bulles de savon intérieures commencent à geler.

Pas le froid extérieur, non.

Mais cette petite pellicule de glace qui se forme autour de nos envies les plus profondes, de nos aspirations les plus personnelles.

On s'auto-censure, on range nos rêves un peu trop "originaux" au fond d'un tiroir, de peur d'être jugées, montrées du doigt, ou pire, de décevoir. Et paf ! Nos envies, nos projets, nos élans de liberté se figent.

L'Art de Bousculer les Lignes : Mode d'Emploi (avec précaution, on n'est pas toutes Wonder Woman... enfin, pas tout le temps !)

Le problème, ce n'est pas tant l'existence de ces normes sociales – elles font partie de la vie en communauté, soyons honnêtes – c'est notre incapacité, bien souvent, à oser les bousculer.

À lever la main et dire : "Excusez-moi, mais mon chemin, c'est par là, même s'il n'est pas sur votre carte Google Maps !"

Je sais, je sais, c'est plus facile à dire qu'à faire.

Je suis la première à me prendre les pieds dans le tapis des "qu'en dira-t-on".

Combien de fois je me suis dit, avec le recul : "Mais bon sang, pourquoi n'ai-je pas écouté cette petite voix, cette intuition, ce feeling qui me disait de faire autrement ?" Cette petite voix, c'est notre GPS interne, notre boussole personnelle, mais on est expertes pour la couvrir avec le bruit des "on-dit" et des "il faut".

Pourtant, c'est en bousculant, même un tout petit peu, ces codes que la vie devient plus légère, plus colorée.

Ce n'est pas forcément plaquer son travail pour devenir dresseuse de licornes (quoique, l'idée est séduisante !).

Non, ça peut être des choses simples :

  • Dire "non" à une invitation qui ne nous tente pas, sans se sentir coupable.
  • Choisir une tenue qui nous plaît vraiment, sans se soucier du regard des autres.
  • Changer de carrière à 40 ans (ou 50, ou 60, l'âge n'est qu'un chiffre, non ?).
  • Décider de ne pas avoir d'enfants, ou d'en avoir dix (chacune sa folie !).
  • Bosser comme une folle ou moins, bref respecter son propre rythme
  • Afficher ses cheveux blancs à 30 ans (je parle encore de moi là ;o)

Chaque fois qu'on écoute cette petite voix intérieure, chaque fois qu'on ose faire les choses "à sa sauce", c'est une bulle de savon qui dégèle, une parcelle de liberté que l'on regagne.

La Quête du "Soi" Décongelé : Une Aventure Héroïque (et Parfois Drolatique)

Se libérer de ces carcans, c'est une aventure, une quête héroïque !

Il y aura des moments où on doutera, où on se dira qu'on est folles. Mais il y aura aussi des éclats de rire, des moments de fierté, et cette douce sensation d'être enfin... soi-même. Fini les étiquettes que les autres nous collent, fini les rôles qu'on nous attribue sans nous demander notre avis.

Le livre de Marie Vareille nous montre, à travers le chemin complexe de ses personnages, que parfois, pour se retrouver, il faut oser des chemins de traverse, même les plus douloureux.

Il nous invite à une profonde réflexion sur nos propres vies : quelles sont les bulles de savon que nous laissons geler par peur du jugement ? Quelles sont les normes sociales qui nous empêchent d'être pleinement nous-mêmes ?

Alors, pour ce dimanche, je vous propose un petit exercice : prenez un carnet et notez trois choses, petites ou grandes, que vous aimeriez faire "à votre sauce", sans vous soucier de ce que "les autres" pourraient penser.

Et partagez-les en commentaire si le cœur vous en dit ! On est là pour s'encourager mutuellement à dégeler nos bulles et à faire un pied de nez aux normes.

Après tout, la vie est trop courte pour ne pas être un peu givrée, non ? 😉

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